Définir les besoins de l’entreprise

Pour dénicher un profil d’exception parmi toute une liste de postulants, il est nécessaire de définir les raisons et vos besoins en matière de recrutement. Ils conditionnent la réussite de ce processus indispensable que vous êtes sur le point de mettre en place. Pour en venir à bout, posez-vous les bonnes questions. Par exemple, si le recrutement est lié à un départ à la retraite d’un de vos personnels, est-ce nécessaire de recruter un salarié à l’identique ? Ou encore quel poste offrir pour quel profil ?

Rédiger une offre d’emploi

Après avoir mis le point sur vos besoins, il est maintenant temps de rédiger une annonce que vous publierez sur les sites spécialisés pour les offres d’emploi, les réseaux sociaux professionnels et tous les supports qui améliorent votre visibilité en tant que recruteur. Assurez-vous de rédiger une offre attrayante, simple et claire.

Trier les candidats

À la suite de la publication des annonces, les candidatures feront exploser votre boîte de réception. Il est alors nécessaire de trier les dossiers en vous référant au CV et à la lettre de motivation des talents. Cette étape est l’un des moments les plus difficiles en recrutement. Heureusement, vous avez déjà une idée des profils des candidats. Retenez uniquement ceux qui répondent parfaitement à vos exigences en termes de compétence. Pour juger de leur potentialité, vous pouvez leur faire passer des tests.

Les entretiens d’embauche

Cette étape est très importante, elle permet de connaître individuellement les candidats. Pendant les entretiens, vous allez communiquer avec chacun des candidats et prendre connaissance de leurs motivations. A partir de cette entrevue, vous estimez les compétences et le savoir-être de la personne. À la fin de cette dernière procédure, vous aurez une idée ou les noms des personnes les plus habilitées à réaliser la mission.

Accroître les contacts et générer du business

En intégrant un club d’entrepreneurs, vous pourrez tout à fait augmenter le nombre de vos contacts professionnels. En effet, tous les membres du groupe se connaissent. Un carnet d’adresses bien élargi vous ouvre de nouvelles portes, aussi bien dans le recrutement que dans le partenariat.

Un autre avantage, c’est que vos contacts ont, eux aussi, des relations, ce qui engendrent encore plus de contacts. Sachez que ces relations entre professionnels peuvent vous être bénéfiques.

Si vous êtes dans le département de la Haute-Garonne, vous pouvez rejoindre le club d’entrepreneurs à Colomiers.

En somme, quand vous avez un bon réseau, vos services ou vos produits s’améliorent automatiquement et votre business se développe plus rapidement.

Pouvoir partager son expérience et apprendre de celle des autres

Passer du temps entre professionnels est synonyme de partage d’expériences. Et tout le monde tire des avantages de ces échanges. Un jeune entrepreneur peut proposer de nouvelles idées et apporter un peu de fraîcheur dans les projets, tandis qu’une personne plus expérimentée peut apprendre davantage sur le fonctionnement d’une entreprise. Vous aurez toujours quelque chose à tirer des autres, et inversement.

En gros, un club d’entreprises est un système gagnant-gagnant. Puis, notez que les problèmes que vous rencontrez sont souvent identiques à ceux d’un autre entrepreneur du même secteur d’activité que vous. Parfois même, des entrepreneurs de secteurs d’activité différents rencontrent des problématiques communes. Dans tous les cas, vous pourrez toujours prendre note des solutions qu’ils ont mises en place afin de pallier vos difficultés. Vous pourrez aussi apprendre de leurs erreurs.

Savoir communiquer son projet

En entrant dans un club d’entrepreneur, vous serez amené à faire beaucoup d’exercices. L’un des plus fréquents et des plus importants est de savoir présenter votre entreprise et de savoir vous exprimer efficacement sur votre business devant un auditoire. C’est donc un excellent moyen de communiquer au mieux votre projet et de fournir vos arguments. Mais surtout, ce genre d’exercice vous permet d’apprendre à capter l’attention de votre interlocuteur et de le convaincre.

Pour formuler efficacement votre discours et présenter avec fluidité et clarté votre projet, il est très utile de vous inscrire à un business club. De plus, vous pourrez bénéficier des suggestions et des remarques de vos pairs.

Se tenir au courant des actualités

Il est normal qu’en tant qu’entrepreneur, vous soyez toujours surchargé et manquez parfois les nouvelles liées à l’entrepreneuriat. La meilleure solution pour éviter cela, c’est d’intégrer un business club. En effet, faire partie d’un réseau de professionnels, c’est se tenir informé des dernières tendances.

Vous aurez les informations utiles sur le secteur d’activité dans lequel vous évoluez. Vous pourrez même vous tenir au courant des nouvelles d’autres secteurs qui pourront avoir des impacts sur votre business. Comme vous échangez souvent avec les autres membres de votre réseau issus de domaines variés, les actualités juridiques et entrepreneuriales n’auront plus de secrets pour vous.

Bénéficier de recommandations

Que vous soyez nouveau dans le monde du business ou que vous en fassiez partie depuis longtemps, ce type de réseau vous offre toujours des avantages tant au niveau de votre image que de votre notoriété. Effectivement, vous pourrez bénéficier de recommandations. Grâce au bouche à oreille, vous pourrez obtenir de nouveaux partenaires ou des prospects.

Les recommandations vous aideront à avoir plus de clientèle, et contribueront ainsi à l’accroissement de votre activité. Vous faire recommander par des membres de votre club permet d’optimiser votre notoriété et vous permet de bénéficier d’une meilleure visibilité. Par contre, il est important que vous inspiriez confiance et que vous vous montriez à la hauteur de vos compétences.

Disposer d’un regard extérieur

Un autre avantage majeur qu’offre l’appartenance à un business club est la diversité des points de vue. Vous êtes en relation avec des entrepreneurs aux profils divers, pensant différemment et évoluant dans des domaines variés. En partageant votre projet et vos idées avec eux, vous disposez d’un œil extérieur. De ce fait, vous serez à même d’examiner d’autres alternatives auxquelles vous n’aviez pas pensé.

Les clubs d’entrepreneurs vous permettent d’entrer en contact avec des personnes ayant des idées ingénieuses, débordant d’énergie et montrant une volonté acharnée. Ces gens vous poussent à dépasser vos limites.

Finalement, entrer dans un club d’entreprises vous permettra de vous évader de votre routine quotidienne et d’oublier votre stress en partageant des passions communes avec d’autres entrepreneurs.

Le pouvoir du marché

Les entreprises fusionnées prennent une nouvelle place sur le marché et dans ce sens, les fusions servent à étendre la zone de l’organisation géographiquement, lui permettant d’acquérir une taille critique pour normaliser sa production. Elle conduit vers une extension du pouvoir de marché à l’international en devenant leader. Lorsque l’entreprise atteint un pouvoir de marché important, elle a la possibilité de fixer librement son niveau de tarif. Ce qui ne serait pas le cas dans un environnement concurrentiel. Elle va réaliser de ce fait, des profits économiques considérables. L’inconvénient de cette théorie est la réaction anti concurrence des régulateurs du marché qui vont s’opposer à toute fusion qui aurait la forme d’un monopole.

Le recentrage des compétences

Les fusions et acquisitions permettent d’accroitre les capacités d’une entreprise. Certaines firmes préfèrent acquérir des organisations ayant des technologies innovantes et d’intégrer celles-ci dans leurs propres ressources. Les acquisitions sont donc justifiées par la thèse liée aux compétences ou à la capacité stratégique dans les industries. La particularité déterminante de l’entreprise est de ce fait, ses compétences ou ses capacités opérationnelles. On trouve dans chaque entreprise une compétence principale et des compétences secondaires. Lorsqu’une entreprise possède un meilleur savoir-faire par rapport à la concurrence, il s’agit de compétences de base. Conséquemment, on se trouve en présence de deux ensembles d’activités, celles qui sont liées aux compétences de base et celles qui ne le sont pas, mais qui sont complémentaires. D’un point de vue dynamique, certaines activités essentielles peuvent devenir secondaires et inversement. La firme vise d’abord son centre de compétences avant d’ajouter ses compétences secondaires. Les entreprises mettront ainsi en œuvre la stratégie de recentrage de compétences en fonction de l’environnement économique. Dans ce cas, la firme va pouvoir externaliser les activités secondaires jugées non stratégiques, pour se focaliser sur les activités de base.

La consolidation

La position d’une firme au sein de son industrie peut être consolidée par les fusions et acquisitions. Dans un premier temps, cela permet d’accroitre le pouvoir de négociation et de réduire ainsi la concurrence. L’entreprise peut alors envisager d’actualiser ses prix à la hausse. Ensuite, la consolidation de deux entreprises aboutit à une meilleure efficacité, due à la réduction des capacités ou aussi au partage des ressources tel que les frais de fonctionnement. Enfin, l’excès du volume de production ne fait qu’engendrer des coûts d’approvisionnement et réaliser des économies d’échelles.

La prise de décision du repreneur

Dans cette étape, il s’agira pour le repreneur de se préparer psychologiquement. En effet, il est très important que le repreneur ait conscience des défis qui vont l’engager dans la reprise d’une entreprise afin de ne pas la faire succomber dans la non-performance. Il aura donc à analyser l’environnement interne et externe de l’entreprise cible, mais aussi, ses compétences et capacités économiques et psychologiques pour garantir la performance de son action à venir. Tous ces paramètres considérés, le repreneur va assurer son engagement pour garantir l’effectivité de la reprise et le processus actif. De ce fait, après avoir détecté et analysé l’entreprise, il procèdera au négoce et à la contractualisation, qui mettra un terme à la transaction. Ensuite, il y a l’étape de l’intégration du repreneur dans ses fonctions. Cette étape marquera la prise en main de l’entreprise, par le repreneur et donc, nouveau dirigeant et propriétaire. C’est la phase ultime de la reprise qui marquera également, la passation entre le cédant et le nouveau dirigeant. Par ailleurs, à ce niveau, il ne sera plus question de retour en arrière, vu que les investissements sont déjà conséquents, donc, la démarche est irréversible.

Les paramètres à considérer pour réussir la reprise

Dès la première étape dans le processus de reprise, l’analyse de l’entreprise à reprendre doit considérer les paramètres principaux ci-après, afin de garantir la performance dans la continuité. En premier lieu, il faut considérer le paramètre en lien avec l’environnement entrepreneurial où il est essentiel que le repreneur ait un véritable goût pour les défis, le développement de l’entreprise ainsi que l’apport en innovation. Il devra également, avoir les compétences estudiantines nécessaires et une base de formation favorable, en gestion, pour garantir la direction de l’entité. Secundo, on doit mettre en avant le paramètre en lien avec l’environnement externe de l’entreprise. En ce sens, considérer les critères macro-économiques est très important. Le repreneur devra ainsi, être en connaissance de cet environnement qui entoure l’entreprise et les contextes du marché. Comme troisième point, il faut voir le paramètre concernant les ressources internes (humaines, matérielles, financières…). En effet, la plupart des cas de reprise concerne des entités présentant des difficultés financières, surtout chez les PME. Dans ce cadre, le repreneur devra prendre en considération le niveau de difficulté de l’entreprise, qui le contraint à ne pas faire face favorablement aux exigences du marché. Ceci, comme, les difficultés dans le recrutement, l’innovation technologique, l’octroie d’une formation adéquate et bien d’autres encore. Ces derniers qui sont souvent en relation avec les problèmes financiers de l’entreprise.

Les paramètres plus technique

Après ces paramètres principaux, il y a le paramètre lié à l’innovation et la formation continue. Ce cadre, en plus de la dimension financière de l’entreprise devra prendre en compte, une stratégie de développement optimale de la part du repreneur. Une stratégie qui, par ailleurs, prendra en compte l’innovation devant être apportée pour faire face au marché et dans la continuité de la vision déjà en place. Comme paramètre suivant, il y a le point lié au client. Dans ce cadre, il est essentiel pour le repreneur de revoir les principes de gestion des clients et de ne pas se focaliser sur « quelques clients », mais de prévoir un développement du portefeuille. Ainsi, il doit prévoir l’analyse des attentes ainsi que de l’évolution de leurs comportements sur le marché cible. Enfin, on doit prendre en compte le paramètre lié à l’activité interne de l’entreprise. Pour cela, il est essentiel de prévoir les initiatives à apporter dans la coordination de chaque chaîne de travail et chaque métier, que ce soit, au niveau de la production, les achats, la logistique ou encore la distribution.

Le besoin d’interdépendance

Ce besoin considère que dans le système, la performance des uns influence les résultats des autres. Mais aussi, que les actions entreprises par les autres membres de l’équipe vont avoir des conséquences sur les résultats de chaque membre. À cet égard, dans un contexte négatif ou positif, travailler et fonctionner de façon indépendante, en dehors du cadre d’équipiers et en se mettant en concurrence avec les autres, peut nuire au fonctionnement et à l’esprit d’équipe et aboutir aux non-atteintes des buts et des objectifs fixés par l’entreprise.

Le besoin d’avoir des buts spécifiques

Ce besoin est primordial pour faire développer une équipe. Par ailleurs, en plus d’une définition commune des buts, ils doivent être fixés conjointement et communiqués clairement à tous les membres, tout en optimisant les rôles de chacun dans l’application des actions relatives à ces buts.

Le besoin de cohésion

Ce besoin devra se rapporter au désir qu’affirment un individu, un salarié, un collaborateur au sein de l’entreprise, d’intégrer l’équipe. Ainsi, une équipe qui inspire la cohésion affirme une forme d’adhésion positive de chaque membre, le menant à une attraction continuelle vers l’esprit, la valeur et la notion d’équipe. À cet égard, dans une unité ou dans diverses unités présentes dans une organisation ou une entreprise, l’optimisation de la réalisation des tâches implique deux types de cohésion, à savoir, celle des tâches et celle du social. En ce sens, la cohésion sociale se rapporte à la relation interpersonnelle qui existe entre chaque membre et qui rend la vie au sein de cette dernière, plus sociable et plus plaisante. Toutefois, malgré le fait que le lien social favorise la bonne entente au sein d’une organisation, sa considération ne peut se faire en lien direct avec la performance économique de l’entreprise. Malgré tout, pour ressentir le bien-être au sein de l’organisation, cette cohésion est essentielle pour de nombreux salariés. Pour ce qui est de la cohésion des tâches, il s’agira ici de la complémentarité et de la façon dont la réalisation des activités vont s’imbriquer entre les divers membres, responsables et unités, qui se considèrent être dans une même équipe. Cette notion de complémentarité permettra, par conséquent, une mise en œuvre et une application efficace et efficiente des tâches.

Le besoin de communication optimale

Le besoin d’avoir une communication efficace au sein de la structure d’une équipe est primordiale. Cette communication devra ainsi s’opérer de façon interpersonnelle. Pour cela, afin de développer cette communication, l’écoute devra être optimisée entre chaque membre et surtout au niveau hiérarchique, avec des formes de feed-back et de rétroaction qui favorisent la considération des avis de tout un chacun. Par ailleurs, pour être performante, il est important de considérer, dans le système de communication en équipe, le développement d’un réseau de communication et de normes qui permettent de réguler et de régir cette activité.

La recherche du local

Pour trouver un local professionnel, vous pouvez adopter la même démarche que celle appliquée lors de la recherche d’un logement : approchez les agences immobilières (surtout celles spécialisées dans les locaux commerciaux), contactez des courtiers immobiliers (surtout ceux experts en recherche de bureaux), lisez les « petites » annonces dans la presse et la presse spécialisée. Vous pouvez décider de travailler depuis chez vous et de louer temporairement un local au sein d’un centre d’affaires de Paris lorsque les circonstances exigent cette location (on parle de « partage de bureaux ou de salles »). Vous avez également ce que l’on appelle les centres de domiciliation. Ces deux solutions sont à envisager lorsque vous appréciez la flexibilité. Si vous êtes une entreprise individuelle, envisagez le travail au sein des espaces de coworking. Par ailleurs, pensez à contacter votre chambre de commerce et d’industrie ainsi que votre chambre de métiers et de l’artisanat. Votre mairie peut également vous orienter vers des propriétaires ayant un bien à louer intéressant.

Un bureau dans le domicile principal

Vous avez fait le choix de vous servir d’une ou de quelques pièces de votre logement pour en faire les composants de votre local professionnel. Dans cette formule, il faut considérer deux aspects : la domiciliation administrative de l’entreprise d’une part, l’exercice de l’activité dans votre logement d’autre part. Concernant cette deuxième situation, deux cas de figure sont à retenir. Le premier cas vise les personnes qui vivent ou dont l’entreprise se trouve soit dans une commune possédant 200 000 habitants et plus, soit dans une commune rattachée aux départements des Hauts-de-Seine, de la Seine–Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ces personnes doivent obtenir l’autorisation de la mairie pour un changement de la destination de l’immeuble (maison, studio, appartement…) où ils résident. La demande est rédigée par le locataire et doit présenter l’accord du propriétaire. Ce dernier peut également se charger directement de faire la demande. En plus de l’accord de la mairie (celle-ci peut imposer des conditions), elles doivent s’assurer que leur bail ou que le règlement de copropriété n’interdit pas expressément ce changement d’affectation. Si c’est le cas, elles doivent également demander une autorisation auprès des propriétaires. Avant dernier point, ces chefs d’entreprise doivent occuper effectivement le logement, lequel est obligatoirement sa résidence principale. Enfin, ils ne peuvent recevoir des clients ni entreposer des marchandises dans leur logement-bureaux.
Le second cas vise les personnes qui vivent ou dont le siège de leur entreprise est localisé dans une commune ne répondant pas aux spécificités précédemment citées ainsi que dans une zone franche urbaine. Cette catégorie d’entrepreneurs doit néanmoins vérifier que leur bail ou le règlement de copropriété n’interdit pas le changement d’affection du logement. Dans le cas contraire, l’entrepreneur se retrouve dans l’obligation de demander une autorisation auprès de son propriétaire.

La domiciliation administrative de l’entreprise

Cela signifie que vous mentionnez l’adresse de votre logement principal dans tous les documents à joindre à votre dossier de création d’entreprise (y compris, les documents pour les services fiscaux). En clair, votre logement devient le siège social de l’entreprise. La domiciliation ne vous donne pas automatiquement le droit de changer l’affectation de votre logement. De même, votre propriétaire n’a pas le droit d’appliquer le régime des baux commerciaux à votre bail. Notez qu’il y a une durée à la domiciliation de votre entreprise dans votre logement. Cette durée est indéterminée dans deux cas précis : soit vous exercez en tant qu’entreprise individuelle et votre activité ne requière aucun établissement (par exemple : vous n’avez pas besoin de stocker des matières premières) soit, ni le bail d’habitation, ni le règlement de copropriété, ni la mairie ne l’interdisent. Avant d’inscrire l’adresse de votre résidence principale dans les documents, vous devez donc vérifier que votre ou vos propriétaires ainsi que la mairie ne s’opposent pas à votre démarche. S’il n’y a aucune opposition, alors vous pouvez procéder à l’inscription et vous n’êtes pas tenu d’en informer la mairie et votre propriétaire de votre décision. Cette durée est de 5 ans si la mairie et le propriétaire s’opposent à la domiciliation et que, de surcroît, votre entreprise est une société. Enfin, si vous souhaitez à la fois une domiciliation administrative et l’exercice de l’activité à votre logement, vous devez, en plus de tout ce qui a été précédemment évoqué, voir les deux points. En premier lieu, votre bail ou le règlement de copropriété autorise l’exercice d’une activité commerciale dans l’immeuble. En second lieu, vous vous assurez que votre propriétaire est d’accord avec un changement d’affectation. Notez que dans le cas présent vous signez un bail mixte avec votre propriétaire.

La location d’un local professionnel ou commercial

Cette fois-ci, vous devez signer un bail commercial. Que vous louiez temporairement un local dans un centre d’affaires à Paris, ou que vous preniez une location sur une période indéterminée, vous ne pouvez échapper au bail commercial ou au bail professionnel. Les baux commerciaux sont appliqués dans 4 types d’activités : une industrielle, une entreprise commerciale, une entreprise artisanale, une activité libérale. Si le propriétaire refuse le renouvellement de votre bail alors il doit vous verser une indemnité d’éviction. Si vous n’avez pas envie de signer un bail commercial, alors voyez s’il est possible de trouver une convention d’occupation précaire. Dans le cas d’un local dans un centre d’affaires à Paris que vous occupez sur une courte période, vous signez un bail commercial de courte durée.

D’autres solutions

Savez-vous que la sous-location existe également dans le secteur professionnel ? Lorsqu’une entreprise occupe un local trop grand, la loi l’autorise à sous-louer une partie de son espace de travail à une autre entreprise : cette dernière signe alors un sous-bail. Des modifications sont alors apportées au bail commercial de l’entreprise qui sous-loue ses bureaux. Enfin, vous pouvez installer l’activité de votre entreprise dans des pépinières d’entreprises, dans un bâtiment-relais ou dans un hôtel d’entreprise.

Définir la nature de l’entreprise ciblée

En premier lieu, il faut définir quel secteur d’activité vous intéresse. D’autres critères comme la zone géographique, le type d’entreprise et la taille de l’entreprise en termes de chiffre d’affaires et de nombre d’employés sont également à inclure. Il est plus sage d’opter pour son domaine de compétence dans le choix du secteur et du type d’entreprise.

Prospecter pour trouver une opportunité

Par la suite, il faut prospecter pour rechercher l’entreprise à reprendre. Les propriétaires d’entreprise ne font pas des annonces directes sur leur désir de céder leur société. Souvent, c’est grâce à son réseau professionnel qu’on trouve une opportunité. Il ne faut pas non plus écarter le réseau familial et amical. Avec internet, il est maintenant possible de trouver des petites annonces des agences spécialisées en la matière, en ligne ou physique.

Faire une analyse détaillée de l’entreprise en question

Une fois que vous aurez trouvé une opportunité intéressante, il est temps de faire une analyse sur son état. Il ne faut pas lésiner sur les questions à poser afin de s’enquérir de l’état de l’entreprise à reprendre. Cette analyse doit se porter sur : l’état général de l’entreprise (intensité de l’activité, endettement…), le chiffre d’affaires, les impôts, les points forts et les points faibles, la clientèle, les motifs de la vente… Si à la fin, vous êtes satisfait par les réponses obtenues, vous êtes prêt pour la prochaine étape.

Évaluation de l’entreprise

Même si l’entreprise parait vraiment intéressante sur tous les points, il faut faire un audit d’inquisition. Avoir recours à un cabinet d’audit mandaté permet d’obtenir une évaluation plus précise sur l’entreprise. Les informations obtenues auprès de l’audit permettent l’estimation de la valeur de l’entreprise. Elles vous permettent aussi de vous décider à entamer les négociations ou à vous retirer.

Mis au point d’un plan de reprise d’entreprise

Finalement, vous avez décidé de reprendre l’entreprise. Un plan de reprise de l’entreprise doit être mis au point. Cela concerne surtout le plan à adopter pour le montage financier et juridique. Vous pouvez opter pour plusieurs types de financement pour l’acquisition : ressources personnelles, crédit bancaire ou autre type de financement. Le mode de rachat se décidera aussi à ce moment, cela peut être par paiement échelonné, par paiement immédiat…

Négociations et rachat

Une autre phase de négociation se fait encore avant la reprise proprement dite. Il est mieux d’avoir recours à des professionnels pour soulever les points importants de la négociation. C’est seulement à l’issu de cela que l’on procèdera à la signature de l’acte de cession et au protocole d’accord. Ces démarches juridiques permettent de conclure officiellement à la reprise de l’entreprise par l’acquéreur.

Phase de transition après rachat

Lorsque la reprise est enfin conclue, le nouveau chef d’entreprise ne prend pas tout de suite les activités en mains. Il doit suivre une phase de transition au cours de laquelle le cédant le met peu à peu dans le bain.

Le modèle éco

Un modèle économique éco est un modèle reposant sur la recherche de bas prix dans la production des missions d’expertise comptable. Le moyen pour y parvenir est certainement, l’intégration des solutions de mobilité et l’appropriation des nouvelles technologiques d’informations et de communication afin de présenter les offres du cabinet. Actuellement, des pionniers de cabinets en ligne plaident d’avoir satisfait le modèle low-cost comme les responsables de la boite ECL Direct qui arrivent à économiser 30 % de coûts par rapport aux produits offerts en offline. Ils confirment aussi l’attrait de ces prestations aux dirigeants des TPE.

Le prestataire en full service

Le modèle économique full service ou offre globale découle de l’appréhension des besoins des entreprises qui veulent des services de plus en plus complets de la part des experts-comptables pour économiser les coûts engagés à entretenir des liens avec plusieurs interlocuteurs. Les cabinets voulant répondre à cette demande, voient leurs domaines d’expertise s’étendre vers les prestations connexes et plus éloignées du cœur du métier dans le but de fidéliser leurs clients et renforcer leurs compétences en s’ouvrant aux prestations de service administratif, informatique, accompagnement et gestion, location, support et logistique. Apparemment, l’adoption d’un modèle de full service a pris du retard par rapport aux autres secteurs comme le secteur de l’assurance dans lequel les offres en pack sont déjà considérées comme des offres classiques.

Le spécialiste

Le modèle économique de spécialisation est né de la complexité croissante et des exigences accrues émanant des clients des cabinets d’expertise comptable. Ces clients sont en quête de prestations recelant des réponses « sur mesures » et très pointues afin de résoudre leurs soucis. En effet, les cabinets ont commencé à adopter la stratégie de spécialisation et engagent toutes sortes de moyens pour y parvenir tels que la collaboration avec d’autres cabinets, le recrutement d’autres professionnels, l’abandon de certaines missions et la création des missions nouvelles. Dans ce sens, les offres de services d’expertise comptable deviennent de plus en plus segmentés et d’une grande spécialisation.

L’optimisation fiscale

Des avantages fiscaux permettent de regrouper deux entreprises, mais dans un cadre réglementaire. Si une entreprise est implantée dans un pays où la fiscalité est souple, l’autre pourra lui transférer ses bénéfices. Une autre hypothèse est le rachat d’une entreprise qui a engendré des pertes par une autre afin de réduire ses taxes.

L’efficience financière

Il arrive que deux entreprises se regroupent pour des raisons financières dont l’une a des excédents de trésoreries alors que l’autre se trouve endettée. Cette dernière pourra réduire ses frais financiers et lever des fonds alors que la première pourra facilement opérer à une fusion ou acquisition. Il en est de même pour une entreprise dont le cours de Bourse se trouve à un certain niveau élevé. Dans ce cas, elle peut racheter d’autres entreprises en proposant de payer les actionnaires en actions plutôt qu’en numéraire.

La recherche de rentabilité

L’un des motifs majeurs des fusions ou acquisition est la recherche de rentabilité. En fonction des secteurs d’activités, la rentabilité peut varier, car certains secteurs offrent plus d’opportunités que d’autres. En effet, les entreprises qui opèrent dans un secteur rentable préfèrent réaliser des acquisitions au sein du même secteur. À l’inverse, celles qui ont un environnement sectoriel défavorable cherchent à cibler des entreprises en dehors de leur secteur. Ceci pour trouver à améliorer une rentabilité potentielle.

Pour avoir un cout inférieur

Dans tous les cas de fusions, l’entreprise est toujours à la recherche d’un coût inférieur pour pouvoir disposer d’actifs à moindre cout que celui qu’il aurait pu avoir comme charge en constituant une nouvelle société. L’acquéreur estime qu’il est toujours plus rentable et moins risqué de se regrouper à une unité déjà établie pour renforcer sa compétitivité. La recherche de cout inférieur pousse les opérations de fusions à réaliser le plus rapidement possible dans ce cas, afin d’avoir le plus de profit face à la pression des marchés.

L’amélioration de la gestion

L’amélioration de l’efficience de l’entreprise acquéreur dépend des méthodes de gestion qui lui paraissent efficaces tant sur le plan opérationnel que sur le plan stratégique. Sur le plan opérationnel, l’amélioration de la gestion se fera par un contrôle strict des coûts de production, la réduction des frais généraux, la maitrise plus serrée de la trésorerie d’exploitation et parfois, jusqu’à l’élimination de certains services. Sur le plan stratégique, l’entreprise acquéreur peut orienter une nouvelle stratégie pour adapter ses produits ou services aux besoins des consommateurs. Il s’agira alors de redéfinir la segmentation stratégique de l’entreprise acquéreur. Il est possible donc, de se focaliser sur des activités jugées plus rentables, mais qui ont été absorbées dans des activités hétérogènes. En ce sens que le désinvestissement des activités considérées comme marginales, peut contribuer à apporter des fonds nécessaires pour soutenir les activités de base.

L’orientation pour la croissance interne

Il s’agit de créer de nouvelles capacités de production. Cette voie permet d’exploiter une expérience déjà acquise et d’échelonner l’investissement. C’est la voie choisie par beaucoup d’organisations, car elle constitue une méthode principale de développement stratégique. La conduite d’une nouvelle stratégie au moyen de ses capacités internes permet de développer ses performances. L’entreprise préserve ainsi son indépendance en maintenant son identité. Elle est appropriée pour les petites et moyennes entreprises qui veulent se spécialiser dans leur domaine. Cette voie a l’avantage de permettre au dirigeant d’avoir le contrôle de tous les aspects de l’entreprise. D’autant plus qu’elle favorise un bon climat social avec de bonnes perspectives d’évolution d’emploi. L’inconvénient est que le processus est relativement long, dans une optique sur le long terme et peut engendrer des retards sur les concurrents. D’une part, si le marché évolue, l’entreprise risque d’entrer en difficulté en cas de spécialisation forte. Sur le plan financier et d’autre part, les emprunts souvent contractés peuvent réduire la rentabilité de l’entreprise.

L’orientation pour la croissance externe

Cette voie permet à des acteurs extérieurs à l’entreprise de prendre le contrôle des moyens de production. Ce procédé consiste pour l’entreprise, à mener une politique de rapprochement vis-à-vis des acteurs. L’opportunité pour l’entreprise est de pouvoir s’ouvrir sur le marché international ou sur des marchés jugés difficiles et conséquemment, accroitre ses pouvoirs de marchés. L’acquisition est donc un moyen permettant de mettre en œuvre une stratégie qui va améliorer sa position concurrentielle. Par ailleurs, c’est un moyen qui va permettre de l’équilibre aux flux financiers de l’acquéreur pour redévelopper son activité principale vers de nouvelles activités. L’avantage de la voie de la croissance externe est la diversification de son activité et de ce fait, l’entreprise acquiert rapidement des parts de marchés. Elle a la possibilité d’entrer rapidement sur un nouveau marché, ce qui est une opportunité et atteindre une certaine taille. Cependant, les risques sont aussi importants, compte tenu de la nécessité du volume d’investissement à injecter. Si la croissance externe échoue due à une mauvaise organisation ou une lenteur de la rentabilité, l’entreprise pourra entrer rapidement en difficulté.